Paroles et musique : Jason Hudon
Réalisation : Peter Ranallo
Prise de son : Nicholas Sifoni et Julien Bouchard
Mixé au studio Kayak par Julien Bouchard, sauf
Mixé au studio London par Nicholas Sifoni (Insomnie, Disque usé et Stopper le temps)
Mastering : Steve Lemay au studio London
Musiciens
Jason Hudon : Voix et guitares accoustiques
Peter Ranallo : Piano, b3, claviers, programmation
Danny Ranallo : Guitares acoustiques et électriques, back vocals
Julien Bouchard : Basses, programmation et guitares additionnelles
Nicholas Sifoni: Programmation
Marianne Croft : Violoncelle
Michel Desmeules : Back vocals
Alexis Desmeules : Back vocals
Je tiens tout d’abord à remercier mes parents, Doris et Daniel, mes frères David, Frank et leurs petites familles respectives de me soutenir et me suivre dans mes innombrables projets. Merci aussi à toute la famille Hudon, Laforest et spécialement à mes grands-parents à qui je dédie la chanson « Les plus belles des années ». Merci à mes ami(e)s qui s’impliquent directement ou indirectement dans tout ce que j’entreprends, Jean-Marc, Steeve, Marty, Marc-Alex, Marilyn, Gilbert, Christine, Morggan et bien d’autres. À ceux qui m’aident sans même s’en rendre compte par le simple fait de croire en moi et de sans cesse me le faire savoir, Audrey, Jean-Denis, Maxime, Marco, leurs familles et tous les autres. Merci également à l’équipe de Québec Issime ainsi qu’aux musiciens des Colocs avec qui je partage la scène depuis plusieurs années.
Merci à l’extraordinaire équipe du Studio London qui a travaillé sur cet album pendant presque deux ans avec sa grande expertise et surtout, tout son cœur. Grâce à vous, Peter, Dany, Nick, Julien et Steve, j’ai entre les mains le meilleur matériel que j’ai fait de ma vie et j’en suis extrêmement fier.
Bien sûr, un merci gros comme la terre à Michel, mon producteur, gérant et grand ami avec qui je passe la plus grosse partie de mon temps. C’est un immense privilège et un honneur de faire équipe avec toi et ta famille, Maryse, Alexis, Mathis et Rosalie depuis tellement d’années. Sans toi Mich, absolument rien de tout cela ne serait possible. Merci, merci et merci.
En terminant, merci à vous qui écoutez, appréciez et partagez ma musique.
C’est vous tous qui me permettez d’avancer.
Luv y’all
Jay
Paroles – FX : Porte-Bonheur
À ton nom – Jason Hudon
Dans le nord, loin de la ville
Seul depuis ton départ, hier soir
Tu reviendras, mais je ne m’y habitue pas
Je ne m’y habituerai jamais
Y’a bien de l’or que je donnerais
Pour revivre la dernière semaine à tout jamais
J’ai attendu trop d’années
Je ne veux pas attendre une autre année
Quand je vois les autres
S’aimer comme on devrait
Je me laisse tomber
Dans le vide et puis on verra
Je t’envoie une lettre où l’amour
Sera là sans détour
À ton nom, en mon nom
Qu’importe à qui avant j’ai écrit
Je te garde, promis
Mes derniers mots
Et ma dernière chanson
Quand tu cours, car t’as peur
Sans trop savoir ce que tu veux
Et t’as plus confiance à la vie
Moi j’ai confiance en toi
Tu devrais essayer
Quand tu voles dans le ciel
Comme un ange là-bas
Quand tu chantes et que tu rêves
Est-ce qu’au moins tu vois
Que t’as le monde à tes pieds
Moi j’le suis depuis des années
Quand je vois les autres
S’aimer de tout près
Je me laisse tomber
Dans le vide et on verra
Je t’envoie une lettre où l’amour
Sera là sans détour
À ton nom, en mon nom
Qu’importe à qui avant j’ai écrit
Je te garde, promis
Mes derniers mots
Et ma dernière chanson
Au sixième – Jason Hudon
Le plancher est doux
Près de mon lit
Dans un hôtel au tapis gris
Je t’imagine presque endormie
Sachant qu’il y a une autre vie
Où l’on se serre
En regardant le plafond du sixième
Un endroit où on veut la même chose
Un peu de chaleur, un peu de nous
Un peu de nous
J’ai envie de parler, rêver, hurler à la nuit
Seul au sixième
Je veux parler, rêver, hurler à la vie
Seul sur le plancher du sixième
Je suis un peu fou, je sais
C’est ce qui t’effraie
Mais l’air de rien, je prends sur mes épaules
Le poids de mes choix
Sachant qu’il y a une autre vie
Où l’on se serre
En regardant le plafond du sixième
Un endroit où on veut la même chose
Un peu de chaleur, un peu de nous
Un peu de nous
J’ai envie de parler, rêver, hurler à la nuit
Seul au sixième
Je veux parler, rêver, hurler à la vie
Seul sur le plancher du sixième
Je sais qu’il y a une autre époque
Une autre place, loin de cette vie
Où l’on se serre
En regardant le plafond du sixième
J’ai envie de parler, rêver, hurler à la nuit
Seul au sixième
Je veux parler, rêver, hurler à la vie
Seul sur le plancher du sixième
Désolé - Jason Hudon
C’est juste trop tôt pour moi
Avec le temps, le jour viendra
Désolé d’allonger la nuit
Et de faire attendre la vie
C’est juste trop tôt, c’est tout
Tout est devant nous
Mais toi, tu sens que le temps presse
Quand je veux qu’on se le laisse
J’ai sur le dos le poids du monde
En plus de la vie d’un être
J’ai pas les mots à la seconde
J’les aurai un jour peut-être
C’est fou comme tout peut arriver
Quand on s’en attend le moins
J’suis désolé, désolé…
Je suis un peu trop bohème
Et je mène une vie de poème
Je prends le monde dans mes bras
Pour notre enfant, crois-moi
Tu ne veux pas ma vie de poème
C’est juste trop tôt pour lui
Ou plutôt, pour lui ou elle
J’ai peur de la vie que l’on mène
Et de ce monde cruel
Je serai prêt un peu plus tard
Et si tu veux toujours de nous
Je sais que c’est dur de me croire
Mais je ne veux pas que l’on se laisse
J’ai sur le dos le poids du monde
En plus de la vie d’un être
J’ai pas les mots à la seconde
J’les aurai un jour peut-être
C’est fou comme tout peut arriver
Quand on s’en attend le moins
J’suis désolé, désolé…
Je suis un peu trop bohème
Et je mène une vie de poème
Je prends le monde dans mes bras
Pour notre enfant, crois-moi
Tu ne veux pas ma vie de poème
J’ai sur le dos le poids du monde
En plus de la vie d’un être
J’ai pas les mots à la seconde
J’les aurai un jour peut-être
C’est fou comme tout peut arriver
Quand on s’en attend le moins
J’suis désolé
J’ai sur le dos le poids du monde
En plus de la vie d’un être
J’ai pas les mots à la seconde
J’les aurai un jour peut-être
C’est fou comme tout peut arriver
Quand on s’en attend le moins
J’suis désolé, désolé… désolé…
Je suis un peu trop bohème
Et je mène une vie de poème
Je prends le monde dans mes bras
Pour notre enfant, crois-moi
Tu ne veux pas ma vie de poème
Un peu trop bohème
Et je mène une vie de poème
Je prends le monde dans mes bras
Pour notre enfant, crois-moi
Tu ne veux pas ma vie de poème
Stopper le temps – Jason Hudon
Tu peux te rendormir
Il nous reste du temps pour être heureux
Du temps pour rester à la maison
De ton plus beau sourire
Aide-moi à oublier le temps pluvieux
Et éclairer le salon
Embrasse chaque seconde
Car demain…
Seule la chance sait où on ira
Le génie de la lampe
Est seul et libre
Seule la chance sait où on ira
Si j’étais sorti d’une lampe
Je pourrais…
Stopper le temps
Arrêter un instant
Nous donner un moment de plus
Stopper le temps
Arrêter un instant
Nous donner un moment de plus
Rien ne sert de courir
Il nous reste un peu de bonheur à deux
Avant de dire adieu à la maison
Ça pourrait être pire
Au moins, y’a le soleil après la pluie
Pour éclairer le salon
Embrasse chaque seconde
Car demain…
Seule la chance sait où on ira
Le génie de la lampe
Est seul et libre
Seule la chance sait où on ira
Si j’étais sorti d’une lampe
Je pourrais…
Stopper le temps
Arrêter un instant
Nous donner un moment de plus
Stopper le temps
Arrêter un instant
Nous donner un moment de plus
Stopper le temps
Arrêter un instant
Nous donner un moment de plus
Insomnie - Jason Hudon
Elle me suit comme mon ombre
Et pourtant, je la déteste
Elle me suit comme la peste
Et toujours, dans la pénombre
Elle vient me voir et me murmure à l’oreille
Des mots doux
Des mots qui me réveillent
Et qui m’ensorcellent
J’ai fait l’amour
À la meilleure de mes ennemis
J’ai fait l’amour
Comme un lion et de minuit à midi
J’ai fait l’amour
À la meilleure de toutes mes ennemies
J’ai fait l’amour
Comme un lion et de minuit à midi
À toi
Insomnie…
J’ai fait l’amour à la meilleure de toutes mes ennemies
Elle garde mes yeux ouverts et me fait perdre mon temps
Ennemie du jour, amie de la nuit
Ennemie de qui je suis
Elle vient me voir, me fait penser aux erreurs d’avant
Elle donne à mes lendemains un goût amer
J’ai fait l’amour
À la meilleure de mes ennemies
J’ai fait l’amour
Comme un lion et de minuit à midi
J’ai fait l’amour
À la meilleure de toutes mes ennemies
J’ai fait l’amour
Comme un lion et de minuit à midi
À toi
Insomnie...
Quand on dort, on rêve
Et ces rêves, on en a besoin
Je ne veux pas m’en priver, car c’est tout ce que j’ai
Laisse-moi m’endormir, laisse mon âme guérir
Je veux que mes pensées se reposent
J’ai fait l’amour
À la meilleure de mes ennemies
J’ai fait l’amour
Comme un lion et de minuit à midi
J’ai fait l’amour
À la meilleure de toutes mes ennemies
J’ai fait l’amour
Comme un lion et de minuit à midi
À toi
Insomnie...
Fantômes – Jason Hudon
S’il fait trop froid pour se mettre à nu
Pour marcher dans les rues
Mettons-nous à couvert
Pour que nos cœurs se déshabillent
Dans la savane et la boue
Nos pieds calent, et on court
Un jour, on verra le bout
Un jour, viendra notre tour
Laissons-nous être nous
Laissez-vous être vous
Sortez les fous dehors
Hors de nos corps
Et quand y’aura plus que nos fantômes
On se rappellera
Personne ne nous oubliera
Grâce à ce qu’il restera
Quand y’aura plus que nos fantômes
On se rappellera
Personne ne nous oubliera
Grâce à ce qu’il restera
Des traces de nous
Des traces de vous
Dans les branches et les herbes
Créatives créatures
Que les autres observent
Comme une erreur de la nature
Laissez-nous être nous
On vous laisse être vous
Laissez-nous perdre le nord
Sans remords
Quand y’aura plus que nos fantômes
On se rappellera
Personne ne nous oubliera
Grâce à ce qu’il restera
Quand y’aura plus que nos fantômes
On se rappellera
Personne ne nous oubliera
Grâce à ce qu’il restera
Des traces de nous
Des traces de vous
Na-na-na
Quand y’aura plus que nos fantômes
On se rappellera
Personne ne nous oubliera
Grâce à ce qu’il restera
Quand y’aura plus que nos fantômes
On se rappellera
Personne ne nous oubliera
Grâce à ce qu’il restera
Des traces de nous
Des traces de vous
Danser la peur – Jason Hudon
Dans un veston de velours
Et un masque de bonheur
Le temps devient assez lourd
Pour écraser le cœur
Le soir, on se sent coupable
Même sans raison valable
Arrêtons de se torturer
Apprenons à s’aimer
Laissons le mal prendre l’avion
Et traversons le pont
Qui mène au mot réussir
Pour enfin s’entendre dire
J’ai fait danser la peur
J’ai fait danser l’amertume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
J’ai pu tester la raison
Et j’ai chassé la brume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
J’ai fait danser la peur
J’ai fait danser l’amertume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
J’ai pu tester la raison
Et j’ai chassé la brume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
C’est en restant dans sa chambre
À regarder sa montre
Que se présentent les monstres
Qui engourdissent nos membres
Et qui vont nous manger tout crus
Mais ça, je n’en veux plus
Arrêtons de se torturer
Apprenons à s’aimer
Laissons le mal prendre l’avion
Et traversons le pont
Qui mène au mot réussir
Pour enfin s’entendre dire
J’ai fait danser la peur
J’ai fait danser l’amertume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
J’ai pu tester la raison
Et j’ai chassé la brume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
J’ai fait danser la peur
J’ai fait danser l’amertume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
J’ai pu tester la raison
Et j’ai chassé la brume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
Porte-bonheur – Jason Hudon
Je glisse un trèfle dans ta poche
Sans rien attendre en retour
Et un sous ton oreiller
Pour qu’aucun fantôme ou mauvais rêve
Ne trouble ton sommeil
Chacun porte le bonheur en lui
Chacun rêve, et le rêve, ça réussit
J’aime croire que rien ne porte malheur
Que la chance n’attend que d’être saisie
Tout le monde aura sa chance
Car tout, tout porte bonheur
Tout le monde aura sa chance
Car tout, tout nous porte bonheur
Je lance une pièce dans les airs
Et je sais qu’elle tombera
Pile sur la face du bonheur
Je fais confiance à l’inconnu
Il a la clé de tout
Chacun jette des rayons autour
Ils s’éloignent et reviennent toujours
Viens avec moi vers la lumière
Je peux la voir d’ici
Tout le monde aura sa chance
Tout, tout nous porte bonheur
Tout le monde aura sa chance
Tout, tout porte bonheur
Tout le monde aura sa chance
Car tout, tout porte bonheur
Tout le monde aura sa chance
Car tout, tout nous porte bonheur
Tout le monde aura sa chance
Car tout, tout porte bonheur
Tout le monde aura sa chance
Car tout, tout nous porte bonheur
Tracy – Jason Hudon
Toi, l’oiseau de nuit
Qui pourtant met du jour à ma vie
D’un simple regard bleu azur
Quand tu me fixes
C’est comme si tu prenais le contrôle
Quand je suis sous ton hypnose
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Dans ma mémoire
Jamais tes yeux ne m’étaient inconnus
Aucun souvenir de ta venue
Dans le brouillard
Tu fais revivre mes sens perdus
Quand je suis sous ton hypnose
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Tu me fais rêver, rêver, rêver…
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
La première fois – Jason Hudon
Et on plisse les yeux
À la première lumière
Et on s’arrête un peu
Pour dire : « Adieu hier »
Comme si c’était la première fois
Au fond, c’est toujours la première fois
Et on ouvre grand les yeux
Pour se voir renaître
Même si les jours sont vieux
Ils sont de plus en plus clairs
Sans être la dernière des premières fois
On est loin de la première des premières fois
La vie est un printemps
Qui traverse le temps, les saisons
Après les vents déments
On revient toujours à la raison
À la fin du départ
La vie est un printemps
Qui traverse le temps, les saisons
Et on demande au ciel
De nous donner un peu
De ces voeux qu’on a faits
En soufflant les chandelles
Et quand ce sera la dernière fois
On y croira comme la première fois
La vie est un printemps
Qui traverse le temps, les saisons
Après les vents déments
On revient toujours à la raison
À la fin du départ
La vie est un printemps
Qui traverse le temps, les saisons
La vie est un printemps
Qui traverse le temps, les saisons
Après les vents déments
On revient toujours à la maison
À la fin du départ
À la fin du départ
Sunshine – Jason Hudon
Tu fais que mon dos frissonne
Tu me passes à travers
Je suis ton matou, t’es ma lionne
Toi, la belle qui ronronne
Donne-moi tout ton eau, ton air
Que je boive à l’envers
Que ton poison m’empoisonne
Que ton corps m’emprisonne
En étant nus sur la mer
Au loin, on se perd
Dans un voyage éphémère
Pour mieux revenir sur terre
You take me where the sunshine is
The sunshine is, wo-oh-oh
Take me to heaven, take me where
The sunshine is
The sunshine is, wo-oh-oh
Take me to heaven, take me…
Oua-ah-ah-ah
En moi, tous tes mots résonnent
Ils me passent à travers
Je suis la bête qui ronronne
Tu es la mère de toutes les lionnes
Donne-moi tout ton eau, ton air
Que je boive à l’envers
Que ton poison m’empoisonne
Que ton corps m’emprisonne
En étant nus sur la mer
Au loin, on se perd
Dans un voyage éphémère
Pour mieux revenir sur terre
You take me where the sunshine is
The sunshine is, wo-oh-oh
Take me to heaven, take me where
The sunshine is
The sunshine is, wo-oh-oh
Take me to heaven, take me where...
Take me to heaven, take me where
The sunshine is
The sunshine is, wo-oh-oh
Take me to heaven, take me where
The sunshine is
The sunshine is, wo-oh-oh
Take me to heaven, take me…
Oua-ah-ah-ah
L’île – Jason Hudon
Laisse-moi te jouer quelque chose de tranquille
Laisse-moi te montrer une île
Où on se rend à la nage
Pour rêver sur la plage
Et si je vois tous les signes
Que les étoiles s’alignent
J’aurai le courage de faire
Ce qu’il y a longtemps que je te jure
J’attendrai le bon moment
Et quand le soleil dormira
Dans une douce tendresse
Je te ferai ma promesse
Seul au bord de l’eau
À penser à nous
Je me jetterai à l’eau
Me mettrai à genoux
Seul au bord de l’eau
À penser à nous
Je me jetterai à l’eau
Me mettrai à genoux
Laisse-moi te jouer quelque chose de tranquille
Une fois les pieds sur l’île
Où on se rend à la nage
Pour rêver et s’aimer sur la plage
Quand tu t’en attendras le moins
Quand dans la nature, on sera loin
Je ferai en sorte que ce soir-là
Reste gravé dans nos mémoires
J’attendrai le bon moment
Et quand le soleil dormira
Dans une douce tendresse
Je te ferai ma promesse
Seul au bord de l’eau
À penser à nous
Je me jetterai à l’eau
Me mettrai à genoux
Seul au bord de l’eau
À penser à nous
Je me jetterai à l’eau
Me mettrai à genoux
Laisse-moi te jouer quelque chose de tranquille
En souvenir de l’île
Où on s’est rendus à la nage
Se marier sur la plage
Seul au bord de l’eau
À penser à nous
Je m’suis jeté à l’eau
Me suis mis à genoux
Seul au bord de l’eau
À penser à nous
Je m’suis jeté à l’eau
Me suis mis à genoux
Les plus belles des années – Jason Hudon
Si c’est pour être bref
Et que nos vies s’abrègent
S’il y a plus d’avant que d’après
Je te ferai vivre les plus belles des années
Si le temps n’est plus là
Qu’il faut jeter l’ancre
Si ce sont les dernières photos de nous
Je te ferai vivre ces années qui n’existent pas
Mais t’en fais pas pour ces années
Personne ne pourra nous oublier
Je sais, c’est dur, s’en aller
Mais au moins, tu rêveras
D’un monde mieux qu’ici-bas
On sera seulement toi et moi
On se retrouvera là-bas
Ensemble, on rêvera
Des temps mieux qu’ici-bas
Le jour où notre tour viendra
Mais je te jure que d’ici là
Tu rêveras
Si au creux de ta main
Les lignes s’effacent
S’il y a plus d’hiers que de demains
Je te ferai vivre les plus belles des années
Si le temps est pluvieux
Et que l’on a plus d’encre
Si ce sont les dernières pages de l’histoire
Je te ferai vivre ces années qui n’existent pas
T’en fais pas pour ces années
Personne ne pourra nous oublier
Je sais, c’est dur, s’en aller
Mais au moins, tu rêveras
D’un monde mieux qu’ici-bas
On sera seulement toi et moi
On se retrouvera là-bas
Ensemble, on rêvera
Des temps mieux qu’ici-bas
Le jour où notre tour viendra
Mais je te jure que d’ici là
Tu rêveras
Dans le courage de l’au revoir
Le bruit d’un coeur qui se déchire
Sans dire adieu, mais à plus tard
Je te ferai vivre l’avenir
T’en fais pas pour ces années
Personne ne pourra nous oublier
Je sais, c’est dur, s’en aller
Mais au moins, tu rêveras
D’un monde mieux qu’ici-bas
On sera seulement toi et moi
On se retrouvera là-bas
Ensemble, on rêvera
Des temps mieux qu’ici-bas
Le jour où notre tour viendra
Mais je te jure que d’ici là
Tu rêveras
Mais je te jure que d’ici là
Tu rêveras
Disque usé – Jason Hudon
On venait à peine de se réveiller
Tu t’es tournée sur le côté
Puis t’as ouvert ton tiroir
Pour sortir un vieux disque usé
Même s’il était un peu grafigné
Dans un côté je pouvais voir
Tes yeux couverts de cheveux noirs
Comme si c’était dans un miroir
Tu t’es levée pour aller te faire un latté dans la cuisine
En revenant, tu as ouvert les rideaux des fenêtres
Et avec ta voix brisée du matin
Tu m’as chanté le beau refrain
De ta chanson préférée
Et même si ta voix me faisait rire
Que t’inventais des mots qui veulent rien dire
J’aurais tellement voulu l’écrire
Il y a maintenant bien des années
Qu’on se réveille côte à côte
Qu’on s’est ouverts l’un à l’autre
Aujourd’hui on ne fait plus qu’un
Toi tu aimes encore ce disque usé
Et moi je peux apercevoir
Tes yeux couverts de cheveux blancs
J’crois même qu’ils sont plus beaux qu’avant
Quand tu te lèves pour aller te faire un latté dans la cuisine
Je te revois un bon matin debout devant les fenêtres
Quand avec ta voix brisée du matin
Tu m’as chanté le beau refrain
De ta chanson préférée
Et même si ta voix me faisait rire
Que t’inventais des mots qui veulent rien dire
J’aurais tellement voulu l’écrire
Et avec ta voix brisée par tant de matins
Tu chantes encore le vieux refrain
De ta chanson préférée
Et même si ta voix me fait toujours rire
Sache que tes mots pour moi veulent tout dire
Et que j’aurais voulu tous les écrire
Paroles et musique : Jason Hudon
Réalisation : Peter Ranallo
Prise de son : Nicholas Sifoni et Julien Bouchard
Mixé au studio Kayak par Julien Bouchard, sauf
Mixé au studio London par Nicholas Sifoni (Insomnie, Disque usé et Stopper le temps)
Mastering : Steve Lemay au studio London
Musiciens
Jason Hudon : Voix et guitares accoustiques
Peter Ranallo : Piano, b3, claviers, programmation
Danny Ranallo : Guitares acoustiques et électriques, back vocals
Julien Bouchard : Basses, programmation et guitares additionnelles
Nicholas Sifoni: Programmation
Marianne Croft : Violoncelle
Michel Desmeules : Back vocals
Alexis Desmeules : Back vocals
Je tiens tout d’abord à remercier mes parents, Doris et Daniel, mes frères David, Frank et leurs petites familles respectives de me soutenir et me suivre dans mes innombrables projets. Merci aussi à toute la famille Hudon, Laforest et spécialement à mes grands-parents à qui je dédie la chanson « Les plus belles des années ». Merci à mes ami(e)s qui s’impliquent directement ou indirectement dans tout ce que j’entreprends, Jean-Marc, Steeve, Marty, Marc-Alex, Marilyn, Gilbert, Christine, Morggan et bien d’autres. À ceux qui m’aident sans même s’en rendre compte par le simple fait de croire en moi et de sans cesse me le faire savoir, Audrey, Jean-Denis, Maxime, Marco, leurs familles et tous les autres. Merci également à l’équipe de Québec Issime ainsi qu’aux musiciens des Colocs avec qui je partage la scène depuis plusieurs années.
Merci à l’extraordinaire équipe du Studio London qui a travaillé sur cet album pendant presque deux ans avec sa grande expertise et surtout, tout son cœur. Grâce à vous, Peter, Dany, Nick, Julien et Steve, j’ai entre les mains le meilleur matériel que j’ai fait de ma vie et j’en suis extrêmement fier.
Bien sûr, un merci gros comme la terre à Michel, mon producteur, gérant et grand ami avec qui je passe la plus grosse partie de mon temps. C’est un immense privilège et un honneur de faire équipe avec toi et ta famille, Maryse, Alexis, Mathis et Rosalie depuis tellement d’années. Sans toi Mich, absolument rien de tout cela ne serait possible. Merci, merci et merci.
En terminant, merci à vous qui écoutez, appréciez et partagez ma musique.
C’est vous tous qui me permettez d’avancer.
Luv y’all
Jay
Paroles
Dans le nord, loin de la ville
Seul depuis ton départ, hier soir
Tu reviendras, mais je ne m’y habitue pas
Je ne m’y habituerai jamais
Y’a bien de l’or que je donnerais
Pour revivre la dernière semaine à tout jamais
J’ai attendu trop d’années
Je ne veux pas attendre une autre année
Quand je vois les autres
S’aimer comme on devrait
Je me laisse tomber
Dans le vide et puis on verra
Je t’envoie une lettre où l’amour
Sera là sans détour
À ton nom, en mon nom
Qu’importe à qui avant j’ai écrit
Je te garde, promis
Mes derniers mots
Et ma dernière chanson
Quand tu cours, car t’as peur
Sans trop savoir ce que tu veux
Et t’as plus confiance à la vie
Moi j’ai confiance en toi
Tu devrais essayer
Quand tu voles dans le ciel
Comme un ange là-bas
Quand tu chantes et que tu rêves
Est-ce qu’au moins tu vois
Que t’as le monde à tes pieds
Moi j’le suis depuis des années
Quand je vois les autres
S’aimer de tout près
Je me laisse tomber
Dans le vide et on verra
Je t’envoie une lettre où l’amour
Sera là sans détour
À ton nom, en mon nom
Qu’importe à qui avant j’ai écrit
Je te garde, promis
Mes derniers mots
Et ma dernière chanson
Elle me suit comme mon ombre
Et pourtant, je la déteste
Elle me suit comme la peste
Et toujours, dans la pénombre
Elle vient me voir et me murmure à l’oreille
Des mots doux
Des mots qui me réveillent
Et qui m’ensorcellent
J’ai fait l’amour
À la meilleure de mes ennemis
J’ai fait l’amour
Comme un lion et de minuit à midi
J’ai fait l’amour
À la meilleure de toutes mes ennemies
J’ai fait l’amour
Comme un lion et de minuit à midi
À toi
Insomnie…
J’ai fait l’amour à la meilleure de toutes mes ennemies
Elle garde mes yeux ouverts et me fait perdre mon temps
Ennemie du jour, amie de la nuit
Ennemie de qui je suis
Elle vient me voir, me fait penser aux erreurs d’avant
Elle donne à mes lendemains un goût amer
J’ai fait l’amour
À la meilleure de mes ennemies
J’ai fait l’amour
Comme un lion et de minuit à midi
J’ai fait l’amour
À la meilleure de toutes mes ennemies
J’ai fait l’amour
Comme un lion et de minuit à midi
À toi
Insomnie...
Quand on dort, on rêve
Et ces rêves, on en a besoin
Je ne veux pas m’en priver, car c’est tout ce que j’ai
Laisse-moi m’endormir, laisse mon âme guérir
Je veux que mes pensées se reposent
J’ai fait l’amour
À la meilleure de mes ennemies
J’ai fait l’amour
Comme un lion et de minuit à midi
J’ai fait l’amour
À la meilleure de toutes mes ennemies
J’ai fait l’amour
Comme un lion et de minuit à midi
À toi
Insomnie...
Toi, l’oiseau de nuit
Qui pourtant met du jour à ma vie
D’un simple regard bleu azur
Quand tu me fixes
C’est comme si tu prenais le contrôle
Quand je suis sous ton hypnose
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Dans ma mémoire
Jamais tes yeux ne m’étaient inconnus
Aucun souvenir de ta venue
Dans le brouillard
Tu fais revivre mes sens perdus
Quand je suis sous ton hypnose
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Tu me fais rêver, rêver, rêver…
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Toi, l’oiseau de nuit
Qui pourtant met du jour à ma vie
D’un simple regard bleu azur
Quand tu me fixes
C’est comme si tu prenais le contrôle
Quand je suis sous ton hypnose
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Dans ma mémoire
Jamais tes yeux ne m’étaient inconnus
Aucun souvenir de ta venue
Dans le brouillard
Tu fais revivre mes sens perdus
Quand je suis sous ton hypnose
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Tu me fais rêver, rêver, rêver…
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Tu me fais faire des folies
Tu me fais mal dans le lit
Tu me fais rêver, rêver, rêver, rêver
Tu es ma fièvre
Le plancher est doux
Près de mon lit
Dans un hôtel au tapis gris
Je t’imagine presque endormie
Sachant qu’il y a une autre vie
Où l’on se serre
En regardant le plafond du sixième
Un endroit où on veut la même chose
Un peu de chaleur, un peu de nous
Un peu de nous
J’ai envie de parler, rêver, hurler à la nuit
Seul au sixième
Je veux parler, rêver, hurler à la vie
Seul sur le plancher du sixième
Je suis un peu fou, je sais
C’est ce qui t’effraie
Mais l’air de rien, je prends sur mes épaules
Le poids de mes choix
Sachant qu’il y a une autre vie
Où l’on se serre
En regardant le plafond du sixième
Un endroit où on veut la même chose
Un peu de chaleur, un peu de nous
Un peu de nous
J’ai envie de parler, rêver, hurler à la nuit
Seul au sixième
Je veux parler, rêver, hurler à la vie
Seul sur le plancher du sixième
Je sais qu’il y a une autre époque
Une autre place, loin de cette vie
Où l’on se serre
En regardant le plafond du sixième
J’ai envie de parler, rêver, hurler à la nuit
Seul au sixième
Je veux parler, rêver, hurler à la vie
Seul sur le plancher du sixième
S’il fait trop froid pour se mettre à nu
Pour marcher dans les rues
Mettons-nous à couvert
Pour que nos cœurs se déshabillent
Dans la savane et la boue
Nos pieds calent, et on court
Un jour, on verra le bout
Un jour, viendra notre tour
Laissons-nous être nous
Laissez-vous être vous
Sortez les fous dehors
Hors de nos corps
Et quand y’aura plus que nos fantômes
On se rappellera
Personne ne nous oubliera
Grâce à ce qu’il restera
Quand y’aura plus que nos fantômes
On se rappellera
Personne ne nous oubliera
Grâce à ce qu’il restera
Des traces de nous
Des traces de vous
Dans les branches et les herbes
Créatives créatures
Que les autres observent
Comme une erreur de la nature
Laissez-nous être nous
On vous laisse être vous
Laissez-nous perdre le nord
Sans remords
Quand y’aura plus que nos fantômes
On se rappellera
Personne ne nous oubliera
Grâce à ce qu’il restera
Quand y’aura plus que nos fantômes
On se rappellera
Personne ne nous oubliera
Grâce à ce qu’il restera
Des traces de nous
Des traces de vous
Na-na-na
Quand y’aura plus que nos fantômes
On se rappellera
Personne ne nous oubliera
Grâce à ce qu’il restera
Quand y’aura plus que nos fantômes
On se rappellera
Personne ne nous oubliera
Grâce à ce qu’il restera
Des traces de nous
Des traces de vous
Et on plisse les yeux
À la première lumière
Et on s’arrête un peu
Pour dire : « Adieu hier »
Comme si c’était la première fois
Au fond, c’est toujours la première fois
Et on ouvre grand les yeux
Pour se voir renaître
Même si les jours sont vieux
Ils sont de plus en plus clairs
Sans être la dernière des premières fois
On est loin de la première des premières fois
La vie est un printemps
Qui traverse le temps, les saisons
Après les vents déments
On revient toujours à la raison
À la fin du départ
La vie est un printemps
Qui traverse le temps, les saisons
Et on demande au ciel
De nous donner un peu
De ces voeux qu’on a faits
En soufflant les chandelles
Et quand ce sera la dernière fois
On y croira comme la première fois
La vie est un printemps
Qui traverse le temps, les saisons
Après les vents déments
On revient toujours à la raison
À la fin du départ
La vie est un printemps
Qui traverse le temps, les saisons
La vie est un printemps
Qui traverse le temps, les saisons
Après les vents déments
On revient toujours à la maison
À la fin du départ
À la fin du départ
Si c’est pour être bref
Et que nos vies s’abrègent
S’il y a plus d’avant que d’après
Je te ferai vivre les plus belles des années
Si le temps n’est plus là
Qu’il faut jeter l’ancre
Si ce sont les dernières photos de nous
Je te ferai vivre ces années qui n’existent pas
Mais t’en fais pas pour ces années
Personne ne pourra nous oublier
Je sais, c’est dur, s’en aller
Mais au moins, tu rêveras
D’un monde mieux qu’ici-bas
On sera seulement toi et moi
On se retrouvera là-bas
Ensemble, on rêvera
Des temps mieux qu’ici-bas
Le jour où notre tour viendra
Mais je te jure que d’ici là
Tu rêveras
Si au creux de ta main
Les lignes s’effacent
S’il y a plus d’hiers que de demains
Je te ferai vivre les plus belles des années
Si le temps est pluvieux
Et que l’on a plus d’encre
Si ce sont les dernières pages de l’histoire
Je te ferai vivre ces années qui n’existent pas
T’en fais pas pour ces années
Personne ne pourra nous oublier
Je sais, c’est dur, s’en aller
Mais au moins, tu rêveras
D’un monde mieux qu’ici-bas
On sera seulement toi et moi
On se retrouvera là-bas
Ensemble, on rêvera
Des temps mieux qu’ici-bas
Le jour où notre tour viendra
Mais je te jure que d’ici là
Tu rêveras
Dans le courage de l’au revoir
Le bruit d’un coeur qui se déchire
Sans dire adieu, mais à plus tard
Je te ferai vivre l’avenir
T’en fais pas pour ces années
Personne ne pourra nous oublier
Je sais, c’est dur, s’en aller
Mais au moins, tu rêveras
D’un monde mieux qu’ici-bas
On sera seulement toi et moi
On se retrouvera là-bas
Ensemble, on rêvera
Des temps mieux qu’ici-bas
Le jour où notre tour viendra
Mais je te jure que d’ici là
Tu rêveras
Mais je te jure que d’ici là
Tu rêveras
C’est juste trop tôt pour moi
Avec le temps, le jour viendra
Désolé d’allonger la nuit
Et de faire attendre la vie
C’est juste trop tôt, c’est tout
Tout est devant nous
Mais toi, tu sens que le temps presse
Quand je veux qu’on se le laisse
J’ai sur le dos le poids du monde
En plus de la vie d’un être
J’ai pas les mots à la seconde
J’les aurai un jour peut-être
C’est fou comme tout peut arriver
Quand on s’en attend le moins
J’suis désolé, désolé…
Je suis un peu trop bohème
Et je mène une vie de poème
Je prends le monde dans mes bras
Pour notre enfant, crois-moi
Tu ne veux pas ma vie de poème
C’est juste trop tôt pour lui
Ou plutôt, pour lui ou elle
J’ai peur de la vie que l’on mène
Et de ce monde cruel
Je serai prêt un peu plus tard
Et si tu veux toujours de nous
Je sais que c’est dur de me croire
Mais je ne veux pas que l’on se laisse
J’ai sur le dos le poids du monde
En plus de la vie d’un être
J’ai pas les mots à la seconde
J’les aurai un jour peut-être
C’est fou comme tout peut arriver
Quand on s’en attend le moins
J’suis désolé, désolé…
Je suis un peu trop bohème
Et je mène une vie de poème
Je prends le monde dans mes bras
Pour notre enfant, crois-moi
Tu ne veux pas ma vie de poème
J’ai sur le dos le poids du monde
En plus de la vie d’un être
J’ai pas les mots à la seconde
J’les aurai un jour peut-être
C’est fou comme tout peut arriver
Quand on s’en attend le moins
J’suis désolé
J’ai sur le dos le poids du monde
En plus de la vie d’un être
J’ai pas les mots à la seconde
J’les aurai un jour peut-être
C’est fou comme tout peut arriver
Quand on s’en attend le moins
J’suis désolé, désolé… désolé…
Je suis un peu trop bohème
Et je mène une vie de poème
Je prends le monde dans mes bras
Pour notre enfant, crois-moi
Tu ne veux pas ma vie de poème
Un peu trop bohème
Et je mène une vie de poème
Je prends le monde dans mes bras
Pour notre enfant, crois-moi
Tu ne veux pas ma vie de poème
Dans un veston de velours
Et un masque de bonheur
Le temps devient assez lourd
Pour écraser le cœur
Le soir, on se sent coupable
Même sans raison valable
Arrêtons de se torturer
Apprenons à s’aimer
Laissons le mal prendre l’avion
Et traversons le pont
Qui mène au mot réussir
Pour enfin s’entendre dire
J’ai fait danser la peur
J’ai fait danser l’amertume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
J’ai pu tester la raison
Et j’ai chassé la brume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
J’ai fait danser la peur
J’ai fait danser l’amertume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
J’ai pu tester la raison
Et j’ai chassé la brume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
C’est en restant dans sa chambre
À regarder sa montre
Que se présentent les monstres
Qui engourdissent nos membres
Et qui vont nous manger tout crus
Mais ça, je n’en veux plus
Arrêtons de se torturer
Apprenons à s’aimer
Laissons le mal prendre l’avion
Et traversons le pont
Qui mène au mot réussir
Pour enfin s’entendre dire
J’ai fait danser la peur
J’ai fait danser l’amertume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
J’ai pu tester la raison
Et j’ai chassé la brume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
J’ai fait danser la peur
J’ai fait danser l’amertume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
J’ai pu tester la raison
Et j’ai chassé la brume
J’ai libéré mes épaules
En reprenant le contrôle
Tu fais que mon dos frissonne
Tu me passes à travers
Je suis ton matou, t’es ma lionne
Toi, la belle qui ronronne
Donne-moi tout ton eau, ton air
Que je boive à l’envers
Que ton poison m’empoisonne
Que ton corps m’emprisonne
En étant nus sur la mer
Au loin, on se perd
Dans un voyage éphémère
Pour mieux revenir sur terre
You take me where the sunshine is
The sunshine is, wo-oh-oh
Take me to heaven, take me where
The sunshine is
The sunshine is, wo-oh-oh
Take me to heaven, take me…
Oua-ah-ah-ah
En moi, tous tes mots résonnent
Ils me passent à travers
Je suis la bête qui ronronne
Tu es la mère de toutes les lionnes
Donne-moi tout ton eau, ton air
Que je boive à l’envers
Que ton poison m’empoisonne
Que ton corps m’emprisonne
En étant nus sur la mer
Au loin, on se perd
Dans un voyage éphémère
Pour mieux revenir sur terre
You take me where the sunshine is
The sunshine is, wo-oh-oh
Take me to heaven, take me where
The sunshine is
The sunshine is, wo-oh-oh
Take me to heaven, take me where...
Take me to heaven, take me where
The sunshine is
The sunshine is, wo-oh-oh
Take me to heaven, take me where
The sunshine is
The sunshine is, wo-oh-oh
Take me to heaven, take me…
Oua-ah-ah-ah
On venait à peine de se réveiller
Tu t’es tournée sur le côté
Puis t’as ouvert ton tiroir
Pour sortir un vieux disque usé
Même s’il était un peu grafigné
Dans un côté je pouvais voir
Tes yeux couverts de cheveux noirs
Comme si c’était dans un miroir
Tu t’es levée pour aller te faire un latté dans la cuisine
En revenant, tu as ouvert les rideaux des fenêtres
Et avec ta voix brisée du matin
Tu m’as chanté le beau refrain
De ta chanson préférée
Et même si ta voix me faisait rire
Que t’inventais des mots qui veulent rien dire
J’aurais tellement voulu l’écrire
Il y a maintenant bien des années
Qu’on se réveille côte à côte
Qu’on s’est ouverts l’un à l’autre
Aujourd’hui on ne fait plus qu’un
Toi tu aimes encore ce disque usé
Et moi je peux apercevoir
Tes yeux couverts de cheveux blancs
J’crois même qu’ils sont plus beaux qu’avant
Quand tu te lèves pour aller te faire un latté dans la cuisine
Je te revois un bon matin debout devant les fenêtres
Quand avec ta voix brisée du matin
Tu m’as chanté le beau refrain
De ta chanson préférée
Et même si ta voix me faisait rire
Que t’inventais des mots qui veulent rien dire
J’aurais tellement voulu l’écrire
Et avec ta voix brisée par tant de matins
Tu chantes encore le vieux refrain
De ta chanson préférée
Et même si ta voix me fait toujours rire
Sache que tes mots pour moi veulent tout dire
Et que j’aurais voulu tous les écrire
Tu peux te rendormir
Il nous reste du temps pour être heureux
Du temps pour rester à la maison
De ton plus beau sourire
Aide-moi à oublier le temps pluvieux
Et éclairer le salon
Embrasse chaque seconde
Car demain…
Seule la chance sait où on ira
Le génie de la lampe
Est seul et libre
Seule la chance sait où on ira
Si j’étais sorti d’une lampe
Je pourrais…
Stopper le temps
Arrêter un instant
Nous donner un moment de plus
Stopper le temps
Arrêter un instant
Nous donner un moment de plus
Rien ne sert de courir
Il nous reste un peu de bonheur à deux
Avant de dire adieu à la maison
Ça pourrait être pire
Au moins, y’a le soleil après la pluie
Pour éclairer le salon
Embrasse chaque seconde
Car demain…
Seule la chance sait où on ira
Le génie de la lampe
Est seul et libre
Seule la chance sait où on ira
Si j’étais sorti d’une lampe
Je pourrais…
Stopper le temps
Arrêter un instant
Nous donner un moment de plus
Stopper le temps
Arrêter un instant
Nous donner un moment de plus
Stopper le temps
Arrêter un instant
Nous donner un moment de plus
Je glisse un trèfle dans ta poche
Sans rien attendre en retour
Et un sous ton oreiller
Pour qu’aucun fantôme ou mauvais rêve
Ne trouble ton sommeil
Chacun porte le bonheur en lui
Chacun rêve, et le rêve, ça réussit
J’aime croire que rien ne porte malheur
Que la chance n’attend que d’être saisie
Tout le monde aura sa chance
Car tout, tout porte bonheur
Tout le monde aura sa chance
Car tout, tout nous porte bonheur
Je lance une pièce dans les airs
Et je sais qu’elle tombera
Pile sur la face du bonheur
Je fais confiance à l’inconnu
Il a la clé de tout
Chacun jette des rayons autour
Ils s’éloignent et reviennent toujours
Viens avec moi vers la lumière
Je peux la voir d’ici
Tout le monde aura sa chance
Tout, tout nous porte bonheur
Tout le monde aura sa chance
Tout, tout porte bonheur
Tout le monde aura sa chance
Car tout, tout porte bonheur
Tout le monde aura sa chance
Car tout, tout nous porte bonheur
Tout le monde aura sa chance
Car tout, tout porte bonheur
Tout le monde aura sa chance
Car tout, tout nous porte bonheur